UN DRAME DONT LES ORIGINES DISSIMULEES REMONTENT A LA REVOLUTION FRANCAISE.
Rendre perceptible ce à côté de quoi chacun peut passer sans le voir constitue l’essentiel du travail d’un artiste.
Dans les magasins, les lieux publics, de toutes les manières, je ne manque jamais l'occasion d'inviter à voir ce drame en cours, par exemple : je n'ai jamais porté la muselière de la mafia, ce qui m'a donné l'occasion d'en parler... et comme, parait-il, 21% des Français (chiffres officiels) j'ai refusé l'injection criminelle et j'attends la suite de pied ferme.
L'hexagone est-il aveugle ? sourd ? muet ? MORT ?
Depuis des siècles, la mafia financière apatride, se cache derrière les institutions apparemment bienveillantes pour instrumentaliser des « idées neuves » comme la démocratie, le communisme, le socialisme, le capitalisme, le libéralisme, l’impérialisme, le fascisme, aujourd’hui le mondialisme… pour déstabiliser les nations au moyen de crises financières, alimentaires, sanitaires, religieuses, énergétiques… et organiser des conflits majeurs comme les révolutions, les guerres mondiales et les innombrables massacres dont les causes à force de manipulations et de mensonges semblent complexes et variées.
Le but des familles mafieuses est toujours d’accroitre leur pouvoir sur les états en finançant l'armement de tous ceux qu'elles ont dressés les uns contre les autres. Après les hécatombes, toujours dans le même but, elles financent les reconstructions en s'appropriant le beau rôle pour préparer le coup suivant !
Le rôle de la presse, de l'institution judiciaire, des parlementaires, de l'état, pourrait être de poser la question basique : "A qui profitent les crimes ? " mais la puissance financière des mafieux leur permet de maitriser autant l'opinion que les institutions.
Le seul espoir de sortir de ce manège infernal réside dans les vecteurs d'information indépendants et dans notre volonté et notre pouvoir d'informer directement autour de nous.
RESISTONS !