Résister (2)

NOUS SOMMES UTILISES ET FORMATES :
« Ils » utilisent et formatent les populations en manipulant les grands médias et l'éducation par l’argent.
« Ils » formatent pour un temps certaines populations pour en faire des consuméristes soi-disant coupables du dérèglement climatique, des pénuries, des guerres, etc.
« Ils » formatent d’autres populations ou les mêmes ou à d'autre moments, pour en faire des crève la faim, de la chair à canon, ou des picousés, des religieux, des terroristes, des migrants… ou encore des : LGBTQZ, de droite, de gauche, du centre ou dégoûté de tout…
Ces disparités entre « leurs » différents troupeaux captifs permettent de fomenter des conflits de toutes natures qui développent et entretiennent le pouvoir totalitaire des financiers et ce n’est pas neuf. "source vidéo"

Comment cela peut-il durer depuis si longtemps ?
Le lobbying consiste à empêcher le pouvoir de rechercher le bien commun pour accaparer les richesses au profit d’intérêts privés. Le lobbying est probablement né avec la Pompadour qui faisait secrètement chanter Louis XV pour des histoires de mœurs. Aujourd’hui, les lobbies s’affichent pour masquer les véritables tyrans qui se cachent derrière les institutions d’apparence démocratique, derrière les mécanismes qui semblent réguler les monnaies, derrière tous les conflits qu’ils téléguident de loin… « ils » endettent toujours plus les états et les populations pour maitriser le monde sans être vus.

Comment est-ce possible ?
- Par la corruption du personnel politique et des hauts fonctionnaires « ils » se sont rendus maitres de toutes les institutions ainsi que des grands médias dans la presque totalité des pays, quels que soient les régimes ou les religions au pouvoir.
- Les chercheurs, les historiens, les observateurs éclairés qui dénoncent l’usurpation du pouvoir politique par cette mafia financière apatride sont disqualifiés aux yeux du grand public par de simples adjectifs servant d’argument :
- Depuis l’assassinat de JF Kennedy, le concept disqualifiant de « complotiste » marche très bien.
- Ces familles mafieuses d’origines variées qui ont financé entre autres les pires horreurs perpétrées par les nazis, prennent souvent soin de se présenter au grand public sous des noms d’emprunt, afin que ceux qui dénoncent leurs crimes soient stigmatisés en tant que « antisémite ». Le manque de mémoire et la peur de la culpabilité des populations permettent à ces familles de se fondre dans le paysage tel un fauve pistant sa proie.

comment l’accaparement financier produit-il l’extrême dépravation des mœurs ?
- Les « choses » ont une valeur d’usage, ex : le blé vaut la vie pour celui qui a faim.
Les « choses » ont aussi une valeur d’échange, ex : Combien de kg de blé pour un kg de fer ?
Cette question est probablement apparue à l’époque néolithique dans la tête des personnes les mieux nourries et qui pour des raisons pratiques ont inventé dans la foulée les monnaies… Coquillages, osselets... et plus tard; pièces de métal, papiers, bitcoins…
- À leur tour, les monnaies ont acquis une valeur d’échange entre elles, puis ce sont les prêts de monnaies qui ont acquis une valeur d’échange ! puis la valeur d’échange de la monnaie est devenue elle-même l’objet de spéculation ainsi que toutes « choses » concrètes ou virtuelles. Le résultat est une spirale de concentration du « pouvoir par la monnaie » entre les mains de quelques accapareurs qui sont le plus nantis et cela au détriment de tous les autres pouvoirs. Au détriment des peuples !
- Le plus souvent à leur insu, les consommatrices et consommateurs sont devenus des « choses » sur lesquelles spéculent les financiers en se moquant éperdument des véritables besoins et désirs des « consommateurs chosifiés ».

- À force d’être « chosifié », formaté, contraint, à force de devoir pour survivre suivre le parcours tracé par les financiers structurellement incapables d’empathie, le consommateur s’auto-chosifie. Il reconnait de moins en moins ses propres émotions, besoins et désirs, il communique de moins en moins directement avec les autres, il finit par se comporter comme un produit n’ayant qu’une « valeur d’échange ». Cuit à point, le consommateur collabore avec ses bourreaux et les mime ; sa capacité à surprendre par l’absurde semble produire sa « valeur d’échange » : Une L vaut-elle plus ou moins qu’un hétéro, qu’un G, un B, une T, un pédo, un zoophile, une camée, une sataniste ou un cumulard ? que faut-il que ces pauvres « choses » paraissent être dans leurs courses éperdues vers le néant, pour avoir une valeur sur le marché ?

Les personnes sont indéfinissables et pourtant :
Consommateur, crève la faim, chair à canon, religieux, antireligieux, terroriste, migrant, LGBTQZ, pédophile, sataniste, de droite de gauche, du centre ou qui s’en moque… De plus en plus, chacun cherche une existence illusoire en se conformant à la « définition marchande » que les financiers lui assignent par l’exemple, par la peur, par la contrainte, par la manipulation... L’humanité se chosifie, se robotise à grands pas. Les robots se réveilleront ils dans un ultime sursaut pour revivre la sensation, l’émotion, le désir, la rencontre, l’amour ?     

Bruno Maillard 07/03/2023

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